CAMELOT Security 2005

Sur CAMELOT Security

CAMELOT Security 2005 est une solution de filtrage de spam côté serveur pour les plateformes MS Windows. Les messages entrants traversent une chaîne de différentes couches d’application à l’intérieur d’un système de protection à plusieurs niveaux. Plusieurs méthodes d’analyse sont exécutées par des processeurs de contenu actifs, en utilisant l’intelligence artificielle avec des processus de filtre d’auto-apprentissage. Une passerelle SMTP spéciale vérifie l’identité de l’instance d’envoi et refuse tout traitement ultérieur dès qu’un incident invalide se produit. Cela empêche l’accès non autorisé avant que le message ne soit livré au système de messagerie ordinaire. Un ensemble de profil structuré, basé sur des attributs réseau et de compte, est utilisé pour traiter le contenu des messages en tenant compte de différentes exigences. Des règles anti-spam individuelles sont exécutées, selon l’utilisateur ou l’emplacement du réseau. L’évaluation des schémas de contenu inconnus prend effet par les méthodes de classification bayésiennes. Les processeurs de contenu intelligents identifient la catégorie appropriée en calculant la probabilité conditionnelle du contenu affecté. Des contenus pornographiques dans les images peuvent également être détectés de cette manière. Des produits anti-virus bien connus peuvent être intégrés pour prévenir l’infection virale. Une interface spéciale pour Norman Virus Control offre une solution proactive pour protéger le système contre les virus nouveaux et inconnus. Plusieurs messages sont traités simultanément dans un environnement à plusieurs threads. Cela garantit un transfert de messagerie sans restriction, même si le système est occupé avec de grands messages simples. L’utilisation de bases de données SQL pour le stockage des données de pool générées offre également des performances élevées dans les grands environnements de messagerie. Le traitement des messages est basé sur le serveur et donc contrôlé à un niveau centralisé. Cela protège le reste du réseau contre les contenus dangereux. Des frontières explicites entre les zones sécurisées et les zones non sécurisées sont ainsi définies. Cela minimise le risque restant, causé par des points faibles quelque part dans le réseau.