SOLAS Consolidated 2018 1.5
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Sur SOLAS Consolidated 2018
La Convention internationale pour la sécurité de la vie en mer (SOLAS), 1974 dans sa forme actuelle est la convention internationale la plus suivie concernant les navires. Il est également considéré comme l’un des instruments juridiques les plus importants régissant la sécurité des navires, qui précise en particulier les normes minimales pour la construction, l’équipement et l’exploitation des navires. Cette application mobile inclut des amendements jusqu’en 2017 c’est à dire. MSC.338(91), MSC.343(91), MSC.344(91), MSC.346(91), MSC.350(92), MSC.365(93), MS MC.366(93), MSC.380(94), MSC.386(94), MSC.392(95), MSC.394(95), MSC.395(95). Les conventions et autres instruments multilatéraux créent des obligations découlant des traités internationaux. Les gouvernements qui les ratifient ou les acceptent acceptent de mettre leurs lois et leurs mesures en conformité avec les dispositions de ces traités. Le but de tout instrument international est d’établir des normes acceptables pour le plus grand nombre possible de pays et mises en œuvre à l’échelle mondiale, éliminant ainsi les différences entre les pratiques nationales. L’Organisation maritime internationale a vu le jour en 1959. Depuis lors, l’organisation a adopté des traités multilatéraux sur un certain nombre de sujets, en particulier la sécurité du transport maritime, la prévention de la pollution par les navires, l’indemnisation et la responsabilité et d’autres questions telles que la facilitation et la mesure du tonnage. La plupart d’entre elles sont appelées conventions, mais quelques-unes sont appelées protocoles ou accords. Toutefois, leur statut juridique est le même. Lorsqu’une proposition est formellement approuvée, une ébauche du traité est ensuite préparée dans l’un des principaux comités ou sous-comités de l’Organisation. Lorsque le projet est approuvé par le Comité de la sécurité maritime, le Comité de protection de l’environnement marin ou le Comité juridique, il est soumis à une Conférence diplomatique internationale à laquelle tous les membres des Nations Unies et ses agences spécialisées sont invités. Avec l’adoption réussie de la Convention, le fardeau de l’action incombe aux gouvernements. La rapidité avec laquelle la convention entre en vigueur (c’est-à-dire devient contraignante pour les États qui ont accepté d’y être liés) dépend du temps que les gouvernements ont pris pour la ratifier ou l’accepter. Le consentement à l’adhésion peut être exprimé par signature, ratification, acceptation, approbation ou adhésion, selon le souhait des États concernés. Cette procédure est généralement appelée « ratification ». Les traités de l’OMI entrent en vigueur après qu’un certain nombre d’États les ont ratifiés avec une certaine proportion du tonnage total mondial. Cela garantit l’acceptation par la majorité des intérêts d’expédition. Une fois que les exigences d’entrée en vigueur d’un traité ont été atteintes, il y a un « délai de grâce » avant qu’il n’entre réellement en vigueur. Cette période varie de quelques mois à un an, voire deux ans, et vise à permettre aux gouvernements concernés de prendre les mesures législatives ou administratives nécessaires à la mise en œuvre des dispositions de la convention.